Témoignages
Professionnels de la santé
Découvrez ci-dessous le partage d’expérience des professionnels de la santé ayant intégré la Micro-immunothérapie dans leur stratégie thérapeutique et diagnostic quotidienne
Je pense que cela agit comme une psychothérapie pour le système immunitaire. Le but de la micro-immunothérapie est de rééduquer le système immunitaire pour qu’il fonctionne correctement et cesse de réagir soit à des substances inoffensives, comme les acariens ou le pollen de graminées, soit à des éléments du soi (maladie auto-immune) en déclenchant une inflammation inadéquate, douloureuse et nocive. La micro-immunothérapie peut également réentraîner le système immunitaire à diriger son pouvoir inflammatoire contre un pathogène caché dans le corps et responsable de pathologies telles que le cancer ou les maladies dégénératives. Par conséquent, la micro-immunothérapie s’intègre parfaitement dans la médecine que je pratique. Plusieurs patients souffrant d’encéphalomyélite myalgique (syndrome de fatigue chronique) ont vu leur état s’améliorer, un patient en Covid long en constate aussi les bénéfices et un autre patient, qui souffre d’un cancer récurrent, d’auto-immunité et d’arthrite sévère m’a dit : « Je suis terrifié à l’idée d’arrêter la micro-immunothérapie. Je suis tellement reconnaissant que cela fonctionne si bien. Cela a fait des miracles sur mon système digestif. »
Je pense que cela agit comme une psychothérapie pour le système immunitaire. Le but de la micro-immunothérapie est de rééduquer le système immunitaire pour qu’il fonctionne correctement et cesse de réagir soit à des substances inoffensives, comme les acariens ou le pollen de graminées, soit à des éléments du soi (maladie auto-immune) en déclenchant une inflammation inadéquate, douloureuse et nocive. La micro-immunothérapie peut également réentraîner le système immunitaire à diriger son pouvoir inflammatoire contre un pathogène caché dans le corps et responsable de pathologies telles que le cancer ou les maladies dégénératives. Par conséquent, la micro-immunothérapie s’intègre parfaitement dans la médecine que je pratique. Plusieurs patients souffrant d’encéphalomyélite myalgique (syndrome de fatigue chronique) ont vu leur état s’améliorer, un patient en Covid long en constate aussi les bénéfices et un autre patient, qui souffre d’un cancer récurrent, d’auto-immunité et d’arthrite sévère m’a dit : « Je suis terrifié à l’idée d’arrêter la micro-immunothérapie. Je suis tellement reconnaissant que cela fonctionne si bien. Cela a fait des miracles sur mon système digestif. »
Je suis naturopathe et kinésithérapeute, avec une longue expérience dans ces deux domaines. Après une opération ratée du canal carpien et de nombreux échecs de traitement, c’est la micro-immunothérapie qui a permis de continuer à travailler. Grâce aux formules de micro-immunothérapie, j’ai pu reprendre le contrôle de l’inflammation sévère qui s’était installée sur le site de l’opération et, après 7 mois de soins postopératoires, récupérer de la fatigue psychologique associée à l’intervention. À l’heure actuelle, je continue à travailler là-dessus pour résoudre les problèmes neurologiques qui subsistent. Aujourd’hui, je suis une micro-immunothérapeute enthousiaste avec plusieurs années d’expérience et j’ai obtenu de nombreuses très belles réussites avec mes patients.
En plus de m’avoir permis d’approfondir énormément ma compréhension de l’immunologie et de modifier mon approche thérapeutique, l’intégration de la micro-immunothérapie à ma pratique quotidienne m’a aussi aidé à améliorer de manière significative l’approche globale de mes patients. Selon moi, l’un des principaux avantages de la micro-immunothérapie réside dans la possibilité de la combiner avec d’autres traitements, en complément ou en soutien. Aujourd’hui, la micro-immunothérapie est un composant incontournable de mon approche thérapeutique et a soulagé les symptômes de nombreux patients, notamment ceux souffrant de pathologies immunitaires.
Consultante en gastroentérologie et spécialiste en nutrition. Domaines : médecine orthomoléculaire, micro-immunothérapie, psycho-neuro-immuno-endocrinologie (PNIE). J’utilise la micro-immunothérapie depuis 20 ans environ dans divers domaines, y compris l’oncologie. La micro-immunothérapie peut être intégrée à un plan de traitement global à tous les stades de la maladie : lors de l’apparition du cancer, en soutien des traitements de radiothérapie ou de chimiothérapie, ainsi que dans les soins post-cancer. L’expérience a montré que les patients traités avec de la micro-immunothérapie présentent un risque moins élevé de développer une neutropénie au cours de la chimiothérapie, tolèrent mieux les traitements anticancéreux et sont moins fatigués. Pour résumer, on peut dire que la micro-immunothérapie poursuit différents objectifs en oncologie : - maîtriser les réactivations virales, - améliorer le fonctionnement du système immunitaire, - limiter les répercussions des traitements anticancéreux, qui entraînent souvent une réactivation virale, - limiter la progression de la maladie.
Durant mes années d’exercice, la micro-immunothérapie m’a été d’une aide que je n’hésite pas de qualifier d’ “incroyable” dans le traitement de nombreuses maladies difficiles comme les états de fatigue chronique, la fibromyalgie, les maladies auto-immunes, les infections persistantes ou réactivées, les maladies neurodégénératives, etc. Dans de nombreuses situations, elle peut guérir et non uniquement soulager. Aujourd’hui à la retraite, je continue de la conseiller aux personnes atteintes de pathologies chroniques, souvent délaissées par la médecine conventionnelle. Je considère que la micro-immunothérapie devrait faire partie intégrante du cursus des études médicales, tant elle peut rendre des services.
Vous êtes un professionnel de la santé et vous souhaitez participer activement au développement de la Micro-immunothérapie ?