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IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Cancer du sein et micro-immunothérapie

Agir sur le système immunitaire pour lutter contre le cancer du sein

Cancer du sein : définition, causes et incidence

Un cancer du sein résulte d’un dérèglement de certaines cellules qui se multiplient et forment le plus souvent une masse appelée tumeur. Il en existe différents types qui n’évoluent pas de la même manière. Certains sont « agressifs » et évoluent très rapidement, d’autres plus lentement. Les cellules cancéreuses peuvent rester dans le sein. Elles peuvent aussi se propager dans d’autres organes par les vaisseaux sanguins ou lymphatiques, ce qui est une situation encore plus menaçante. On parle alors de métastases. Dans la majorité des cas, le développement d’un cancer du sein prend plusieurs mois, voire plusieurs années.

Le cancer du sein est le cancer le plus diagnostiqué chez les femmes à travers le monde, autant avant qu’après la ménopause.

En 2018, en France, près de 59 000 nouveaux cancers du sein ont été détectés (source 1).

Ce cancer est toujours une cause de mortalité causant plus de 12 100 décès par an (source 1).

Le plus souvent, le cancer du sein survient après 50 ans. Le taux de survie 5 ans après le diagnostic varie de 80 % à 90 %, selon l’âge et le type de cancer.

Facteurs de risques et lien avec le système immunitaire

On connaît plusieurs facteurs de risque du cancer du sein. Cependant, dans la plupart des cas, il est impossible d’expliquer les raisons de son apparition chez une personne en particulier :

  • des antécédents familiaux de cancer du sein invasif : Environ 10 % des cancers du sein auraient une origine génétique. Les femmes porteuses d’une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2 ont un risque très élevé de développer un jour la maladie. Des mutations sur des gènes, transmises d’une génération à l’autre ou bien acquises au cours de la vie (l’exposition à des radiations ou à certains produits chimiques toxiques, par exemple, peut modifier les gènes), peuvent causer un cancer du sein. Les gènes BRCA1 et BRCA2, par exemple, sont des gènes de susceptibilité aux cancers du sein et de l’ovaire. Les femmes qui portent des mutations de ces gènes ont un très haut risque de cancer ;
  • grâce à la recherche, on connaît mieux les différents paramètres qui augmentent le risque de cancer du sein : une alimentation industrielle et déséquilibrée en excès (la viande, les gâteaux, les frites ou le beurre), l’alcool, le tabac, les kilos superflus, la pilule ou un traitement hormonal substitutif de la ménopause : autant de facteurs qui peuvent favoriser le cancer du sein.

Les cellules immunitaires sont normalement capables de reconnaître des cellules altérées, telles que les cellules cancéreuses, et de les détruire avant qu’une tumeur ne se développe. C’est généralement le cas chez les personnes en bonne santé. Cependant, les cellules cancéreuses développent des capacités et des mécanismes qui leur permettent d’échapper partiellement ou totalement au système immunitaire. Elles sont en outre capables de libérer certaines substances messagères afin d’affaiblir la fonction des cellules immunitaires chargées de combattre la tumeur. Elles peuvent également « manipuler » certaines cellules immunitaires afin que celles-ci libèrent des substances messagères pour les utiliser à leur propre avantage. Les cellules cancéreuses sont donc en mesure de se créer un environnement favorable dans lequel elles ne sont pas « attaquées » par le système immunitaire.

La régulation immunitaire et la modification du microenvironnement inflammatoire de la tumeur pourraient donc être des éléments intéressants pour initier une réponse immunitaire anti-tumorale efficace et maîtriser le processus tumoral.

Manifestations cliniques

Voici une liste des symptômes éventuels d’un cancer du sein :

  • la présence d’une masse indurée et le plus souvent indolore et aux contours irréguliers dans le sein ;
  • le gonflement d’un ou de plusieurs ganglions sous l’aisselle ;
  • une inflammation du sein, accompagné de rougeur et de gonflement ;
  • une modification du mamelon ou de l’auréole : rétraction, changement de coloration, suintement, écoulement…;
  • un changement de la forme d’un ou des deux seins ;
  • une altération de l’état général : fatigue, perte d’appétit, perte de poids.

Plus tardivement, le cancer du sein peut provoquer d’autres manifestations qui traduisent une extension de la tumeur dans le sein voire à d’autres tissus :

  • des douleurs osseuses (liées à des métastases osseuses) ;
  • des signes liés à une compression des organes digestifs et hépatiques : nausées, jaunisse, perte d’appétit… ;
  • des troubles respiratoires et pulmonaires (liés au métastases ou à la compression des organes respiratoires par la rumeur): essoufflement, épanchement pleural… ;
  • des maux de tête et des troubles visuels (vision double) ;
  • une faiblesse musculaire.

Conseils et prévention

Comme tous les cancers, une meilleure hygiène de vie permet de se préserver du cancer du sein :

  • adopter une alimentation équilibrée ;
  • pratiquer une activité physique régulière ;
  • conserver un poids normal ;
  • ne pas fumer ou effectuer un sevrage tabagique ;
  • éviter l’alcool.

Le cancer du sein fait l’objet d’un dépistage organisé de masse. À partir de 50 ans jusqu’à 74 ans, chaque femme bénéficie gratuitement et tous les 2 ans d’une mammographie de dépistage. Des lésions asymptomatiques peuvent être découvertes ainsi.

Dans certains cas (comme en cas de forte densité des seins), une échographie des seins est nécessaire pour compléter la mammographie de dépistage.

Si la mammographie de dépistage révèle des anomalies, d’autres examens seront prescrits (échographie, biopsie…).

Traitements existants pour le cancer du sein

Différents types de traitements seuls ou en association peuvent être utilisés pour traiter un cancer du sein : la chirurgie (tumorectomie, mastectomie ou curage ganglionnaire), la radiothérapie, l’hormonothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées à base d’anticorps monoclonaux, tels que trastuzumab, bévacizumab, lapatinib, évérolimus bloquent des mécanismes spécifiques des cellules cancéreuses.

Traitement complémentaire de la micro-immunothérapie : bénéfices et objectifs de la thérapie

La micro-immunothérapie est une thérapie immunomodulatrice, conçue pour apporter un soutien immunitaire au niveau physiologique, et qui peut être utilisée chez les patients en oncologie pour atteindre les objectifs suivants :
  • améliorer les compétences immunitaires (identification et élimination des cellules tumorales) ;
  • faire face aux facteurs environnementaux perturbateurs ;
  • mieux tolérer les traitements conventionnels du cancer du sein et améliorer ainsi la qualité de vie du patient ;
  • limiter les conséquences à long-terme et le risque de rechutes.

Vous êtes médecin, membre d'un groupe médical spécialisé ou thérapeute ?

L’Institut Français de Micro-immunothérapie permet aux professionnels de santé de développer les connaissances nécessaires à la prise en charge du système immunitaire de façon préventive ou afin de restaurer son bon fonctionnement sur le long terme tout en intégrant la micro-immunothérapie comme outil thérapeutique immunocompétent et accessible à tous les praticiens.

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  • Je pratique la micro-immunothérapie dans mon propre cabinet près du lac de Constance (Suisse) depuis plus de 20 ans. Le golf est mon hobby, la micro-immunothérapie est ma passion ; ils ont quelque chose en commun.
    Pour pratiquer les deux, j'ai besoin de précision, d'une routine constante et de la volonté de réussir. Le chemin le plus court n'est pas toujours le meilleur quand on vise un objectif. Réussir, c'est obtenir les meilleurs résultats tout en restant concentré sur l'objectif. La micro-immunothérapie a aidé nombre de mes patients à surmonter leurs maladies chroniques. Il faut avant tout trouver les causes et les traiter avec un remède adapté.
    Corinne I. Heitz
  • Avec du recul, après 30 ans de pratique de la médecine intégrative, je dois dire que de découvrir la micro-immunothérapie a été le chaînon manquant dans mon diagnostic et ma thérapie de régulation systémique. La micro-immunothérapie est le tremplin le plus significatif pour obtenir un impact psycho-immunologique précis et mesurable, de longue durée, tant dans les maladies aiguës que chroniques.
    Eleni Kavelara Lodge
  • Les Drs. Friderike et Petra Wiechel, deux spécialistes de la médecine biologique et intégrative dirigent ensemble la Swiss Mountain Clinic dans le canton des Grisons. Des repas sans gluten, de l'eau potable pure et un environnement pratiquement dépourvu d'électrosmog font de la clinique le lieu idéal pour trouver le calme et se régénérer. Avec leurs nombreuses méthodes de diagnostic, leurs différents traitements et thérapies, les médecins visent à rééquilibrer le corps. C'est pourquoi ils s'accordent si bien avec MeGeMIT et l'approche de la micro-immunothérapie.
    Petra et Frederike Wiechel
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